À Kenscoff, en Haïti, un quartier jusque-là relativement épargné par la violence des gangs, une attaque brutale a été perpétrée par la coalition des gangs Viv Ansanm. Cette offensive, qui dure depuis le 27 janvier, a causé la mort d’au moins 40 personnes, bien que ce chiffre pourrait augmenter en raison de l’inaccessibilité de certaines zones. Parmi les victimes figurent des pasteurs, des enseignants, des enfants, ainsi que des membres de la classe ouvrière, notamment

En Haïti, la situation des enfants s’aggrave de manière alarmante. Les violences sexuelles à leur encontre ont explosé, atteignant une augmentation de 1.000 %, selon James Elder, porte-parole de l’UNICEF à Genève. Il décrit une réalité insoutenable où les corps des enfants deviennent des champs de bataille. Les groupes armés, qui prolifèrent dans ce pays des Caraïbes, infligent des atrocités inimaginables, transformant leur quotidien en un cauchemar constant. James Elder souligne également le manque de

Haïti traverse une nouvelle épreuve difficile. Les États-Unis ont décidé de suspendre leur contribution financière à la mission multinationale soutenue par l’ONU, un programme déjà en manque de ressources, selon un porte-parole des Nations unies. Cette décision intervient alors que, le 4 février 2025, un contingent de 70 soldats salvadoriens a rejoint la mission en Haïti pour lutter contre les gangs armés qui sévissent dans la capitale, Port-au-Prince. Le gel des fonds américains semble être